
Thé au riz
Selon la théorie vaccinale de Pasteur, en « atténuant » un germe (bactérie ou virus), ou en prélevant un fragment qui fait réagir l’immunité de manière spécifique, on obtient un « vaccin » dont l’injection va permettre à l’organisme de produire des anticorps spécifiques à la maladie, sans avoir besoin d’être malade.
Aujourd’hui, le discours rabâché à nos oreilles par les médias et autorités, c’est « on se sortira de la crise quand nous aurons un vaccin et que tout le monde sera vacciné »
C’est donc la course à quel labo produira en premier le fameux vaccin, et quel pays aura commandé assez de doses pour protéger sa population

Mais revenons à quelques fondamentaux.
L’immense piège serait de tomber dans la simplification extrémiste « provax » versus « antivax« .
Pour les premiers, les vaccins n’apportent que des avantages, ils sont efficaces du fait de l’immunité collective, donc c’est justifié de vacciner tout le monde, même contre le gré des récalcitrants qui sont de facto de dangereux fanatiques.
Pour les seconds, les effets secondaires dépassent de très loin les bénéfices réels et ils sont à proscrire absolument.
Comme souvent, la réalité se trouve dans la nuance et fuit les extrêmes.

Quelques repères pour affiner le discernement :
- la théorie vaccinale est devenue aujourd’hui un dogme : franchement, c’est extrêmement difficile de trouver des études sans conflit d’intérêt qui soit en mesure de prouver la part réelle d’efficacité des vaccins dans la disparition des maladies contagieuses ;
- certains vaccins sont précieux, ont sûrement sauvé des millions de vie. Exemple : la rage est une maladie mortelle dans 100% des cas quand les symptômes sont là, elle tue encore 60 000 personnes par an, elle ne peut toucher les personnes vaccinées ;
- les vaccins apportent une immunité « humorale » (production d’anticorps spécifiques à la maladie contre laquelle on vaccine), mais pourrait baisser en partie l’immunité cellulaire (liée aux lymphocytes T, premier rempart non spécifique contre tous types d’infection). Ce qui explique que les personnes vaccinées contre un type de virus pourraient avoir une très bonne réponse contre ce type là, et une plus mauvaise sur tout les autres risques infectieux.
- à part les antigènes ou les germes atténués, responsable de la production d’anticorps par l’organisme, les vaccins contiennent des adjuvants censés renforcer la réaction immunitaire et/ou jouer le rôle de conservateur. Or, certains présents systématiquement présentent par eux-même une toxicité extrêmement problématique, aux dosages utilisés : les plus connus sont l’aluminium et le mercure (présent sous la forme de Thiomersal ou Thimerosal), neurotoxiques pas spécialement doux, ou encore le formaldéhyde.
dossier aluminium (pdf), maladies infectieuses et vaccins de Jean Pilette (pdf) - peut-on éradiquer une maladie à l’aide d’un vaccin ? Quand l’homme est le seul hôte du virus, peut-être (l’exemple de la variole est souvent conté), le souci des corona c’est qu’il y a de nombreux réservoirs animaux (visons, chauve-souris, voire chiens).
Autre couche de remarques qui poussent à la prudence, du fait de la puissance extrême de l’industrie pharmaceutique :
- les vaccins sont les seuls médicaments dont l’étude de toxicité, indispensable pour une mise sur le marché, se fait par comparaison à un autre vaccin équivalent et non à un placebo,
- la « loi sur le secret des affaires » permet de ne pas afficher l’ensemble des ingrédients,
- la plupart des labos producteurs de vaccins ont fait voter des lois les exonérant d’assumer tous problèmes d’effets secondaires liés à la vaccination,
- les médias sociaux avouent ouvertement censurer toute information remettant en cause la sécurité des vaccins
Enfin, certains vaccins en étude contre le coco-vide auraient des particularités pas spécialement rassurantes :
- une nouvelle génération de vaccins serait testée : l’utilisation d’ARN messager, produisant chez la personne les protéines de surface du virus à l’origine de la réponse immunitaire. Là, on ne parle pas de modifier notre patrimoine génétique, mais de « hacker » nos cellules afin qu’elles produisent elles-même l’antigène viral, pour qu’ensuite nos lymphocytes produisent le vaccin.
Le souci, c’est que nous possédons parfois des rétrovirus intégrés à notre génome, capable de transcrire l’ARNm en ADN, qui lui, est capable de s’intégrer à notre génome. Plus grave, l’ARNm rebaptisé « vaccin » est produit à partir d’ADN, et Pfizer par exemple est incapable de renseigner l’Agence Européenne du Médicament sur la quantité d’ADN restant dans le produit final. On pourrait devenir de fait des OGMs. Sans aucun recul, cette technologie de rupture sera testée grandeur nature sur quelques milliards d’individus. Hmmm, je me sens rassuré, tout d’un coup…Le vaccin de tous les dangers
le forçage génétique
Les vaccins à ARN messager prennent de l’avance - des brevets déposés montrent qu’en parallèle à la vaccination révolutionnaire, des nanoparticules pourraient être injectées sous la peau, servant à faire un carnet de vaccination numérique lisible par un smartphone
le-kenya-et-le-malawi-zones-test-pour-un-carnet-de-vaccination-injecte-sous-la-peau - le virus du coco-vide a muté une bonne dizaine de fois selon Pr Raoult, une carte permet d’explorer la répartition de 4300 variants, entre son apparition et le mois d’août. Faudra-t’il un vaccin différent chaque année, comme pour la grippe ?
(cf vidéo) - l’OMS qui pousse à la vaccination, n’est pas dénuée de conflits d’intérêts, comme on le verra dans l’article gestion de crise.
Quelques liens :

Les personnes qui refusent le vaccin pourraient être exclues du travail ou de l’école
ZEjournal.mobi – Un empoisonnement obligatoire, mais… remboursé
Bras-tique
Bon, nous osons vous l’avouer : après 8 mois sans toucher un mot de ce blog, on se remet au turbin quand l’obligation vaccinale (directe pour les soignants, indirecte via le pas-ça-ni-taire) pointe le bout de son nez, en août 2021. Autant dire qu’il s’en est passé des trucs entre-temps, surtout au pays des vaque-seins…
Quels vaccins sont sur le marché local ?
L’excellent site Réinfo Covid nous brosse le tableau des candidats en lice :

Ici, en Polynésie, on a affaire à un vaccin à ARN messager (Pfizer BioNTech : Comirnaty) et à un vaccin à adénovirus modifiés génétiquement (Jansen)
Avancée du chantier vaccinal ?
Sur la page de la Direction de la Santé Polynésienne, on peux trouver le tableau de bord de l’avancée vaccinale, ainsi que la carto des centres de vaccination.
Voilà la situation au 9 août 2021, en cliquant sur l’image vous arrivez à la page du jour.

Le message de l’administration polynésienne est que le vaccin est sûr, il protège contre tous les variants du coco-vide, et tout le monde devrait se faire vacciner pour atteindre l’immunité de groupe (protéger les plus fragiles) et éviter l’engorgement des hôpitaux avec l’arrivée du variant indien ou delta.
Même si ce variant semble moins virulent que les précédents, le taux d’obésité, diabète, fragilités cardio-vasculaires de pas mal d’habitants en Polynésie fait que l’hôpital craint avec raison d’être débordé. Dommage que les molécules essayées pour soigner le coco vide avec succès ailleurs sur la planète ne sont pas prises au sérieux par ici non plus, maintenant c’est comme ça aujourd’hui…
Efficacité ?
On est à la bourre pour développer le sujet des vaccins, alors pour ne pas perdre de temps, voilà déjà une analyse pointue qui résume bien ce qu’on sait de l’effet des vaccins sur le déroulement de l’épidémie aujourd’hui, en France. Article censuré de Médiapart, heureusement internet a de la mémoire…

Au bilan d’une analyse statistique dans les pays les plus vaccinés, ce sociologue du CNRS montre que la vaccination n’a pas empêché la circulation virale.
La reprise de l’épidémie ne s’est pas accompagnée d’une hausse de la mortalité : 3 hypothèses sont en lice :
- l’effet de la vaccination ? » Cette dernière varie toutefois de 40 à 100% de la population avec des résultats finalement assez similaires, ce qui laisse place au doute «
- la bien moindre dangerosité du variant delta ?
- la saisonnalité des maladies infectieuses ?
Pour les pays extra-européens, » les cas du Qatar, de Bahreïn, de l’Uruguay, du Chili, des Émirats Arabes Unis, des Seychelles et de la Mongolie indiquent que les intenses campagnes de vaccination n’ont en rien empêché la survenue de nouvelles épidémies qui, contrairement à l’Europe, ont été parfois plus mortelles que les précédentes. «
Enfin, et ce n’est pas un détail : » Certains généticiens (voir notre entretien avec Christian Vélot) préviennent d’ailleurs du risque que la vaccination générale (avec des vaccins génétiques à ARN ou ADN) contribue elle-même au développement de variants qui pourraient échapper à l’immunité acquise lors de la première épidémie. «
Au bilan : » L’hypothèse qui nous paraît la plus raisonnable, car elle s’appuie aussi sur les leçons de l’année 2020, est que les principaux facteurs de la dynamique épidémique sont à rechercher du côté de l’histoire naturelle des virus, des facteurs climatiques (d’où la saisonnalité des maladies infectieuses) et des structures démographiques et sanitaires des populations (la clef étant la proportion de personnes à risque du fait du grand âge, des maladies cardio-vasculaires antérieures, de l’obésité, etc.), et non du côté des décisions politiques, fussent-elles de vacciner plus ou moins vite et plus ou moins fortement la population générale. «
Les vaccins pourraient accélérer l’apparition de nouveaux variants, alors ?
Cf l’article mentionné plus haut et remis dessous, malheureusement en anglais (Google Trad ne daigne pas vouloir le traduire, sorry)

Voici la traduction de sa conclusion (merci DeepL) :
Il n’est pas impossible que les coronavirus connus du rhume, lorsqu’ils sont passés de l’animal à l’homme (ils sont tous originellement responsables de zoonoses), aient commencé leur évolution par une pandémie comme COVID-19. Mais à l’époque, les moyens d’investigation en virologie et en biologie moléculaire n’existaient pas et n’étaient pas identifiés.
Il existe une réactivité croisée de type cellulaire et humorale dans une grande partie de la population aux coronavirus du rhume et au SARS-CoV-2. Vijgen et al. [4] ont proposé que le coronavirus HCoV-OC43 ait suivi la même trajectoire que le SARS-CoV-2 : un saut d’espèce entraînant une pandémie, suivi d’une évolution vers un coronavirus du rhume plus bénin.
Cette évolution semble être commune aux virus émergents (atténuation virale). Des mutations importantes sur le plan de l’évolution sont apparues dans les gènes du SRAS-CoV-2 codant pour des protéines qui interagissent avec le système immunitaire de l’hôte. L’une des principales mutations (dans la polymérase virale) est logiquement associée à une fréquence plus élevée de mutations dans l’ensemble du génome. Cette fréquence fluctue dans le temps et atteint son maximum lors du pic épidémique du printemps 2020.
La réactivité croisée d’une part et les mutations virales observées d’autre part pourraient expliquer l’évolution vers un phénotype bénin du SRAS-CoV-2, en partie par une évolution du virus contre le système immunitaire de l’hôte, au moins jusqu’à l’été 2020. Une attention soutenue devra être portée aux mutations qui pourraient réduire l’efficacité des vaccins (dirigés contre la protéine spike) [53] et des PCR en fonction des sondes utilisées [54].
En décembre 2020, un nouveau variant a été identifié au Royaume-Uni (VUI 202012/01 ou B.1.17), défini par de multiples mutations dans la protéine spike (Δ69-70, Δ144, N501Y, A570D, D614G, P681H, T716I, S982A et D1118H). Ce variant ne serait pas associé à des infections plus sévères, ne toucherait pas préférentiellement une classe d’âge par rapport aux virus circulant précédemment, mais étant plus contagieux, il a entraîné en janvier 2021 le taux de mortalité le plus élevé au Royaume-Uni depuis le début de la pandémie [55]. Il est peu probable que le variant B.1.1.7 échappe à la reconnaissance par les anticorps générés par une infection antérieure ou par les vaccins [56], bien qu’un rapport récent ait suggéré que l’ensemble des mutations Spike présentes dans le variant B.1.1.7 pourrait réduire l’activité neutralisante du vaccin Pfizer BNT162b2 [57].
En décembre 2020, le variant B.1.351 (501Y.V2) a été isolé pour la première fois en Afrique du Sud, il porte 8 mutations caractéristiques dans la protéine spike [58] et pourrait avoir une transmissibilité accrue, mais aucun changement dans la gravité de la maladie n’a été montré à ce jour. Il a été identifié dans plusieurs pays européens [59].
Il convient de noter que, selon des déclarations récentes de Johnson & Johnson [60] et de Novavax [61], l’efficacité du vaccin pourrait être réduite contre la variante sud-africaine. La neutralisation virale par les sérums induite par le vaccin ChAdOx1 contre le coronavirus nCoV-19 contre la variante B.1.351 du coronavirus était considérablement réduite par rapport à la souche originale du coronavirus [62].
Le variant P.1 n’a été identifié jusqu’à présent qu’au Brésil, et chez des voyageurs en provenance du Brésil signalés au Japon et en Corée du Sud. Ce variant comprend 20 mutations uniques, dont certaines pourraient être responsables d’un échappement des anticorps [63].
Plusieurs données émergent concernant l’effet de la mutation du SRAS-CoV-2 sur les anticorps neutralisants chez les patients convalescents, avec une implication possible dans la récurrence de la maladie. La lignée 501Y.V2 échappe complètement à trois classes d’anticorps monoclonaux à visée thérapeutique [64] et aux anticorps sériques [65]. Dans les lignées portant la mutation E 484 (présente dans les variantes d’Afrique du Sud et du Brésil), la neutralisation par certains sérums est réduite de plus de 10 fois [66].
Sûreté ?
L’analyse de Mucchielli, sur la mortalité due aux vaccins, censurée plus vite encore et republiée sur France-Soir :

Après une analyse fouillée des enquêtes de pharmaco-vigilance sur les vaccins utilisés (la remontée des effets indésirables aux autorités sanitaires), en France et dans d’autres pays occidentaux voilà ses conclusions :
- La question des effets indésirables graves des vaccins anti-covid fait l’objet d’un déni et d’un silence de la part du gouvernement et des principales agences sanitaires ;
- on redoutait que ces vaccins conçus dans l’urgence puissent ne pas être de bonne qualité, et pas de bol ça se confirme :

- la réalité dépasse ces craintes et montre que ces vaccins ont davantage d’effets indésirables plus ou moins graves qu’aucun autre avant eux. Il y aurait entre 3 et 4 morts déclarés pour 100 000 vaccinés.
» Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est donc inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets indésirables graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger. Tout autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial. «
Un autre lien sur la qualité des injections, notamment l’instabilité des ARN messagers, suite à une fuite de l’EMA (l’agence européenne du médicament).
Notre Teiki préféré a fait sa propre enquête, pour comparer le nombre de cas graves du coco-vide au nombres d’effets indésirables grave des vaque-seins. Voilà son mode d’emploi, que vous puissiez faire vos propres analyses :
- allez sur le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et cherchez le point de surveillance des vaccins contre le coco vide :

- téléchargez la synthèse des résultats et les faits marquants :

- Le doc PDF donne les infos globales, puis par type de vaccin. Pour l’exemple, nous allons regarder les chiffre pour l’injection de Pfizer, depuis le début de la vaque-six-nations histoire d’être le plus représentatif possible.


Cela nous donne 27% de cas graves sur 38701 cas d’effets indésirables recensés,
soit 10 449 cas graves. Donc, une règle de trois nous donne : 10 449 / 57 232 000 injections soit 1 cas d’effet secondaire grave tous les 5 477 injections chez Pfizer.
- On passe ensuite sur le site du Réseau Sentinelles, le réseau de santé publique qui surveille l’évolution des épidémies en France. On peut y télécharger le bulletin national de la semaine

- Dans le bulletin, on va repérer le taux d’incidence (l’apparition des nouveaux malades) et le pourcentage d’hospitalisation :

5,3% de 19 personnes, on ne va pas chipoter : 1 personne sur 100 000 se retrouve hospitalisée.
Donc, à un poil de uc près, on a 20 fois plus de « chances » de finir à l’hôpital suite à une injection Pfaïzeur qu’avec le coco vide !!
Teiki poursuit sa recherche, vous trouverez son doc par ici.
Bien sûr c’est un chiffre brut, il faudrait affiner selon l’âge des personnes et l’état de leur système immunitaire. Peut-être que pour un diabétique insuffisant cardiaque de 84 ans, le vaccin sera moins dangereux que l’infection coco vide. Maintenant, pour la plupart des moins de 60 ans en santé correcte, la balance bénéfice-risque est très défavorable.
(enfin, ça dépend pour qui…)

Si vous voulez explorer de vos propres yeux les effets secondaires déclarés, je vous ai concocté un tuto pour utiliser EudraVigilance et le système américain VAERS(histoire de ne pas surcharger cette page déjà bien fournie…)

Autre liens :
Dans cette vidéo, ce chercheur explore les chiffres officiels en Angleterre, qui montre que le variant delta, tout contagieux soit-il, a tué 8 à 10 fois moins que l’alpha, celui de la première vague. Les chiffres montrent aussi que les vaccinés sont plus fragiles que les non-vaccinés face à une infection par le delta, celui qui circule en ce moment.

Autre sujet d’inquiétude : les anticorps facilitant ou Antibody Dependant Enhancement : le fait d’être déjà confronté une première fois au virus ou à sa protéine Spike provoque une réaction immunitaire plus forte, souvent problématique, la seconde fois. Ce phénomène est bien connu dans le cas de la dengue, par exemple.

Professeur Dolores Cahill, docteur en biologie moléculaire et immunologie. (…) Elle finit par expliquer les problèmes avec les vaccins à ARN messager et les conséquences de ces vaccins sur le système immunitaire de chaque individu, chez qui la réponse du système immunitaire entraîne des effets secondaires. « C’est comme un jeu de roulette russe », nous dit-elle, et ces vaccins ne devraient jamais être donnés en double doses car cela risque d’entraîner des problèmes supplémentaires liés à la facilitation de l’infection virale par les anticorps (antibody dependend enhancement) dont on ne connaît pas la temporalité de l’effet.
Autre explication par Patrice Gibertie :

Le principe de l’Ade est bien connu : celui qui a eu une vaccination ou une infection suivi de la mise en place de peu d’anticorps ou d’un seul type d’anticorps peut connaître par la suite une maladie bien plus grave ou des maladies auto immunes graves.
Et un tout petit détail : la protéine Spike, produite par les injection géniques expérimentales pour faire des anticorps, est en elle-même la principale cause de pathogénicité de la maladie coco-vide, provoquant des lésions vasculaires :

Vous comprenez pourquoi il y a tant d’effets secondaires, niés pour ne pas contredire le narratif du « vaque-sein sauveur », et pourquoi la flambée de nouveaux malades a lieu après les vaccinations ?

Les dégâts de la protéine Spike :

Pourquoi les micro-thromboses générées par Spike (naturelle ou issue des injections) produisent des dégâts irréversibles dans le cerveau, la moelle épinière, le cœur et les poumons :

Et les jeunes ?
Cette analyse issue d’un collectif de chercheurs belge fait le point :

En voici les principales observations :
- En Belgique, seule la vaccination contre la poliomyélite est obligatoire 1 et doit être réalisée dès la petite enfance. Plusieurs vaccinations contre d’autres maladies touchant directement les enfants sont toutefois exigées pour qu’un enfant puisse fréquenter un milieu d’accueil agréé par l’O.N.E. (crèche, accueillants et accueillantes, pré-gardiennat, maison d’enfants,…). Tous ces vaccins sont connus et éprouvés de longue date.
- Dans tous ces cas, une comparaison entre les risques de la maladie et ceux de la vaccination est toujours effectuée et peut donner lieu à des “dispenses” de vaccination le cas échéant.
- La vaccination pour des maladies bénignes chez l’enfant n’est habituellement pas recommandée, sauf situation tout à fait particulière et individuelle, telle qu’une déficience immunitaire ou un facteur de comorbidité.
- Le risque de forme grave de Covid-19 chez les enfants est très proche de zéro et ne peut justifier une vaccination indifférenciée.
- En revanche, le risque à long terme des vaccins “à matériel génétique” (à ARNm et à adénovirus vecteur) est inconnu et des vaccins à mode de fonctionnement du type virus inactivé ou partiellement inactivé (vaccins généralement utilisés et éprouvés jusqu’alors) sont annoncés dans les mois qui viennent 2 3. Ces vaccins conféreront aussi, en principe, une immunité plus large que celle offerte par les vaccins “génétiques” actuellement dispensés 4.
- En outre, la diminution de transmission grâce au vaccin existe chez les adultes mais est mal quantifiée. Chez les enfants, il n’y a pas d’éléments probants permettant d’affirmer cet effet. S’il existe, il n’est pas assez significatif pour jouer un rôle dans la propagation de l’épidémie. Par ailleurs, contrairement à une idée reçue, les enfants ne jouent pas un rôle plus important que les adultes dans la propagation de l’épidémie 5 6 7.
- Au vu de tous ces éléments, la vaccination doit être envisagée dans l’intérêt premier de l’enfant, et non dans un intérêt collectif non réellement objectivable, ni dans l’intérêt de ses proches directs et surtout pas au détriment de ses intérêts personnels.
- Ceci relève tant de l’éthique médicale que du droit, dès lors que l’article 22bis de la Constitution impose que “Dans toute décision qui le concerne, l’intérêt de l’enfant est pris en considération de manière primordiale”.
- En ce qui concerne les adolescents, toute forme de pression émotionnelle exercée sur eux (protection des parents et grands-parents, facilitation des vacances de la famille, accès à certaines activités, stigmatisation) peut être appréhendée comme de la manipulation en vue, notamment, d’obtenir un consentement non libre (et non éclairé) à la vaccination.
- L’on ne peut, enfin, invoquer une “majorité médicale” pour justifier que les adolescents reçoivent directement leur invitation à se faire vacciner. En effet, seul un médecin connaissant le mineur peut apprécier si, le cas échéant, il est en mesure d’apprécier lui-même ce qu’implique la vaccination.
Une étude sur les myocardites chez les mômes :

Un témoignage :